Réunie le 6 juin 2005, l'Assemblée Générale de la CCI de Lille Métropole, à l'unanimité :
Réaffirme l'impérieuse nécessité de l'autoroute A 24. L'engorgement quasi permanent de l'autoroute A 1 cause en effet un important préjudice aux entreprises du territoire métropolitain. Les milieux économiques ne comprennent pas les lenteurs de la décision pour un projet programmé depuis le début des années 70, et dont la mise en service pour 2004 avait été annoncée par le Ministre des Transports, le 2 juillet 1996 !
S'inquiète de la largeur du faisceau envisagé pour le tracé et considère qu'un passage de cette autoroute à l'Ouest d'Armentières lui interdirait de remplir sa mission de délestage de l'A1.
Considère, en conséquence, que le seul tracé possible est métropolitain, et dans ce cadre ne prend pas parti entre les deux hypothèses envisagées : pont du Badou et RN 58 belge ou tracé initial maintenu au schéma directeur.
Considère que si le tracé initial devait être maintenu, il existe aujourd'hui des solutions appropriées pour supprimer toute nuisance sonore et notamment par tranchée couverte à l'instar de ce qui a été réalisé pour l'A 16 dans la traversée de la forêt d'Hardelot.
commentaire de Hervé Dizy:
Le débat LAALB a-t-il servi à quelque chose? Les membres de la Chambre de Commerce et d'Industrie sont bien butés.